Jacques Bouhours
Jacques Bouhours, une comète dans le ciel du diaporama ?
Frappé dès l’âge de 14 ans par le virus de la photo, j’ai été émerveillé par
les premiers diaporamas que j’ai vus en 1974-75, et qui m’ont fait entrer à
l’atelier qu’animait à l’époque André Parmentier (et quelques illustres aînés)
à la MJC de Metz. Premiers essais, peu concluants, malheureusement abandonnés
face aux obligations de la vie. 20 ans plus tard, les aléas de ma carrière
hospitalière me font travailler dans le même établissement que Ricardo Zarate,
qui me persuade (facilement) de le rejoindre, au GAPHE d’Hayange. Quelques
progrès de plus, mais là encore, des « impératifs extérieurs »
m’éloignent du diaporama...pour 20 ans, au terme desquels, enfin en retraite,
je peux revenir vers cette vieille passion.
CHANSON DOUCE-AMÈRE
La Douce-amère (Solanum Dulcamara) : plante sauvage
toxique dont les petites baies rouges ont une saveur d’abord douce, puis amère,
avant d’être âpre, et qui finit par vous coller mal au ventre...Certains
souvenirs anciens ont les mêmes effets : ainsi, cette chanson à grand
succès des années 1950, que ma mémoire associe au départ brutal de mon oncle,
rappelé comme beaucoup d’autres pour prendre part aux « événements »
d’Algérie. Il n’a jamais raconté ce qu’il a vécu « là-bas », mais m’a
confié avant sa mort les photos qu’il avait pu prendre pendant son séjour
forcé.